Rien ne me manque
Revue de presse
"... Une
interrogation
posée par Djoher, sorte de double, dans "
La cicatrice à son cou nu".
Remarquable et poignante nouvelle, où tout est dit ou suggéré, à mots
ténus, de cette Algérie violente parce que trop longtemps violentée."
(
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l'article)
"
Les
quatorze nouvelles de ce recueil, petites perles finement polies,
racontent, dans une langue française poétique, délicate et tendue, des
histoires douloureuses. D
es personnages lumineux,
des moments intenses
d'espoir, d'amour, de solidarité estompent cependant l'ombre, l'effroi
et la désespérance." (
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l'article)
"
L'Algérie
de vives voix... L'écriture pour témoigner, "pour libérer le chant, le
rire et le poème", pour aller aussi au devant de l'autre, à son écoute."
(
Lire l'article) et l'
entretien paru dans ce même journal
Dans Maghress
Salim
Jay : Le chœur blessé de Soumya Ammar Khodja
"
Bien
souvent, l'écriture a ici cette qualité rare: les sujets et figures
dont elle s'empare ne sont pas des prétextes à narration, c'est le
travail du texte qui est au service de ces histoires cruelles qui
méritaient absolument d'être dites." (
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Émission
"Un livre, un jour" (document INA)(
voir)
Émission
Tam Tam de Pascale Clark (
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Radio
Sud Besançon. (
écouter)
